LeXeul et les enfants du web
Edition d’un recueil de textes issus du blog : "l’œil du Xeul",
écrit par Alex Gaudin entre 2005 et 2015.
Un point de vue poétique et post-moderne sur le monde !
A découvrir : http://lexeul.blogspot.com/
Edition d’un recueil de textes issus du blog : "l’œil du Xeul",
écrit par Alex Gaudin entre 2005 et 2015.
Un point de vue poétique et post-moderne sur le monde !
A découvrir : http://lexeul.blogspot.com/
La vie à toute vitesse de Jean-Louis Le Dentu, grand baroudeur, écrite pour son fils franco-kirghiz...
En français et en russe cyrillique pour sa famille au Kirghizistan !
Edition de la biographie de Jacqueline, sous forme d'un livre souvenir avec texte et photos de famille.

De la rue Fernand Dol au Revest, Jacqueline se raconte…

L’Algérie, L’Espagne, la France…
Raymonde a rempli 3 gros carnets écrits à la main,
dans lesquels elle se livre à sa "famille formidable" !


Les souvenirs de Jean Guarracino, comme un sillage qu’il laisse derrière lui...

Souvenirs des familles Correge, Elul et Hennet dans un livre unique.
Une première réalisation d’Emma Martin.

De l’Italie à la France en passant par l’Algérie et le Maroc, l’histoire de Thérèse et Prosper.


Quand des petits carnets n’en forment plus qu’un…
Réflexions intimes, sur le voyage ou la politique, Denis Castel nous livre un florilège de ses pensées.

Paroles et Mémoires de salonais, en toute liberté !
Ecrit par Mireille Rostaing avec les habitants pour la Bibliothèque et la Mairie de Salon-de-Provence.

| C’est dans une boite à chaussure que Francis Soulié de Morant a retrouvé les lettres que son père échangeait avec sa famille alors qu’il était prisonnier en Allemagne. Empreintes de réalisme et de pudeur, elles dévoilent le quotidien d’un homme éloigné des siens par l’Histoire. |

Enfant, Jacqueline Brunet, a grandi à Sétif et n'avait qu'un seul rêve : voir le monde.
Voici le récit de ses aventures...

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On ne sait jamais où les chemins de la vie peuvent vous conduire. Pour Alfred Panis, tout commence à Cucuron, petit village du Luberon, où son père exerce comme maréchal-ferrant. C’est la guerre d’Algérie qui lui fera quitter pour la première fois son cher Luberon. Puis, son activité professionnelle l’amènera en Afrique Noire (le Congo tout juste indépendant, le Gabon) où il exercera comme forestier. Il y sera un véritable broussard, pénétrant les sociétés africaines comme rarement. Au début des années 1970, il revient s’établir sur les bords de la Côte d’Azur. Avec son association des anciens du 410e RAA, il entreprend un travail de mémoire unique en son genre, celui d’identifier les disparus de son régiment pendant la guerre d’Algérie, afin de rendre l’hommage que les vivants doivent aux morts. |
17 ans… été 44…
l’histoire de deux jeunes, Uwe Martin et Daniel Bordigoni,
allemand et français, dans le désordre d’une fin de guerre…
La vie d’Odile Romieu, recueillie et mise en mots par Blandine Scherer…
Un beau cadeau offert par son fils Lionel
En collaboration avec Pour ainsi dire.
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Monique Reynaud nous emmène dans un voyage dans le temps, elle a dix-huit ans, un évènement heureux et terriblement angoissant vient bouleverser sa vie… elle entre dans l’inconnu de sa vie de femme... |
Un jour, en fouillant dans de vieux livres, Monique Henry-Pernin est tombée sur une légende oubliée.
Un écho l’a troublée, et lui a soufflé l’idée de ce récit. Entre légende et réalité…
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Un livre-hommage aux soldats de la première guerre mondiale du Pompidou, Il y a cent ans débutait la Première Guerre mondiale. Elle allait toucher le coeur de chaque famille, par les drames qu’elle a engendrés, durant quatre ans. Ce livre aborde en première partie, le déroulement de la guerre 14-18, dans ses grandes lignes, sur tous les continents où elle s’est déroulée, jusqu’à la Victoire finale. En seconde partie, il raconte la vie des soldats au front et les échanges épistolaires avec leur famille et leurs amis. Les héros du Pompidou ont donné leur vie, pour que nous vivions Libres. Chacun est présenté par une fiche militaire et le récit de son dernier combat. |
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La vie de Michel Boissonnet racontée par Alain Astaud. |
Souvenirs d’enfance, de voyages, pensées intimes… racontés par bribes...
" Journal sans date " est le journal d’une vie...

| Souvenirs du départ d'Espagne d'Antonieta Espinos-Bevia, pour l'Algérie, afin de fuir la guerre civile, alors qu'elle n'avait que 8 ans. |


Fragments autobiographiques de Basile Catoméris.
Rédigé en collaboration avec Alain Astaud.
Récit autobiographique de Liliane Combel-Guillen.

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"A travers quelques anectotes drôles et difficiles, sans toutefois se prendre trop au sérieux, vous découvrirez, ou revivrez pour ceux qui l'ont connu, le parcours d'un personnage qui s'est formé tout seul. Protégé par son étoile filante, qui l'a suivi en toutes circonstances. Très attaché à son Pavillon Bleu, le restaurant de ses parents à Alger où il est né et a vécu une partie de sa jeunesse..." Jacques Benejam |

Une étude très détaillée des jeunes nobles et bourgeois aixois sous le Directoire par Guillaume Delteil.

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Rabia n’est encore qu’une enfant lorsque, avec sa famille, elle rejoint son père ouvrier en France. Parce qu’elle se sent mal-aimée de sa mère et parce qu’elle pressent que ce pays sera désormais Écrit en collaboration avec Alain Astaud. |

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Au travers de ce récit autobiographique, le lecteur a le privilège de pénétrer à l’intérieur d’un univers secret. Sans étalage ni déballage mais avec beaucoup de Ecrit en collaboration avec Alain Astaud. |

Je vais bientôt avoir seize ans. Je me pose beaucoup de questions sur mon avenir et je n’ai aucune réponse.
Mon mensonge me ronge toujours. La nuit, quand je suis couchée, on pourrait croire que je dors, mais il n’en est rien. Je me revois en train de lire la lettre à ma mère. Je l’entends rire de joie à l’idée que sa fille va lui venir en aide. Si elle pouvait savoir comme je regrette et combien ce souvenir me fait souffrir. Je n’ai pas d’autre solution que d’essayer d’oublier. Ce souvenir douloureux ne me quittera jamais.
Je vais bientôt avoir soixante-six ans et ce mensonge me pèse toujours. Ma tante n’en a jamais rien su, seule ma mère a fini par l’apprendre. Je le lui ai avoué en 1976, lorsque je suis allée la voir au Pays de Galles.
Francisca Evora
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Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les Carreto Ramado... Cette fête laïque et républicaine où défile la Marianne dans un écrin de fleurs et de verdure a plus de 100 ans. Son histoire racontée par Mireille Rostaing sous forme de chroniques, s’adresse aux jeunes générations pour perpétuer la tradition. Rendez vous chaque premier week-end d'août à Châteaurenard pour le défilé ! En bonus : les paroles de La Marseillaise et de L’Internationale… |


L'histoire de Jacques Julienne et de Marguerite Saucourt-Harmel, 1901-2008.
Réalisé par Annick Desandre-Julienne.
| Né sur les rivages ensoleillés de la Méditerranée, en Algérie, dans la ville oh! combien chaleureuse d’Oran, au pied de la montagne de « Santa Cruz », René Botella se souvient avec nostalgie… |
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Dans ce deuxième volume de souvenirs, nous retrouvons Angèle à Oran. Angèle exerce divers emplois, en particulier chez M. et Mme Malé, un couple de grands propriétaires terriens. C’est à leur ferme qu’elle fera la connaissance d’Antonio Carballido qui deviendra son mari. De cette union naîtront trois enfants. |
Récit autobiographique de Vernalys.
Souvenirs de Marie-Claude Valat.
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J’ai eu envie de partager avec vous les moments importants de ma vie, des souvenirs de mon enfance, de mon adolescence, de ma vie de femme et de mère. Et puis j’ai voulu aussi, relater certains faits de la vie de mon mari qui ont marqués son histoire. Biographie d'Ana Meer, écrite en collaboration avec Alain Astaud. |
| 1 famille, 30 hôtels, 100 ans d’histoire, l’album de l'exposition du musée de Montreux, d'après les recherches de Cécile Gaudin, descendante par alliance de la famille Emery. |
| Odile est née pendant la première guerre mondiale, en septembre 1917, à Marseille.
C’est de l’époque de la guerre de 1940 que datent ses premiers poèmes conservés, alors soigneusement recopiés dans un cahier quadrillé. Des poèmes de jeune fille sentimentale, des poèmes d’amour et de passion rêvée… Elle se remet à la poésie en 2008 et écrit au cours de ses dernières années quelques dizaines de poèmes. Odes à la vie, ouverture à la beauté, souci des autres, regard attendri sur l’enfance, le cœur s’est encore agrandi. Elle s’est retirée doucement à l’âge de 94 ans, laissant derrière elle quelques traces, mots de tendresse, feuilles vivantes… |
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Les Mémoires, c’est un peu comme la vigne, c’est une affaire de terroir. Dans ceux que nous livrent ici Raymond Coulouvrat, il est question de cela, et de bien davantage... Avec ses souvenirs, l’auteur nous emmène sur les terres de son enfance. D’abord à Roussillac, la ferme de Visan tenue par ses parents, mais surtout à Moiran, la fastueuse propriété familiale de ses grands-parents, dans la Drôme, un petit paradis sur terre. C’est avec ses yeux de gamin qu’il nous relate la vie de ces deux exploitations agricoles, dans laquelle l’Histoire, celle de la Résistance à l’occupant nazi, fera irruption. Pour cet enfant de la terre, le métier de paysan paraissait tout tracé, tel un sillon, quand la tuberculose en décidera autrement. À une époque charnière, entre Gard et Vaucluse, Raymond Coulouvrat dirigera plusieurs coopératives vinicoles. Il contribuera à la création de deux caves, Les 4 Chemins et le Cellier des Dauphins, ainsi qu’au sauvetage et à la modernisation de celle de Cairanne, et cela avec le soutien indéfectible de sa femme, Andrée. C’est un pan de l’histoire de la viticulture du sud-est de la France qui nous est racontée ici... Ecrit en collaboration avec Alain Astaud… |
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Gilbert Surle, Felli’ pour les amis, aura attendu ses quatre-vingts ans pour se raconter. Il nous livre un témoignage tour à tour tendre et violent, drôle et révolté, sensible mais peut-être aussi un brin scandaleux aux oreilles de certains. Pourtant, comme il le dit lui-même : « En dépit des souffrances traversées, du peu de bonheur vécu, si c’était à refaire, je recommencerais.» Écrit avec la collaboration d'Alain Astaud. |
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" Quelques souvenirs d'instants de vie inoubliables qui ont laissé dans mon esprit et dans mon cœur un écho de rires et d'émotions qui résonne encore... " Martine Laubriet-Vincent Couverture en papier recyclé artisanal. |
Votre histoire, vos souvenirs, votre vie ou celle de vos ancêtres, vous souhaiter laisser un témoignage à vos proches avec votre biographie...
Vous souhaitez partager vos recherches sur l'histoire d'un lieu et les publier en autoédition...
Biographie de Jean-Jaurès Laurent.
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Né en 1917 à la Garde-Freinet d'une vieille lignée gardoise, à une époque où l'on ne quitte que rarement son village natal, Augustin Ollivier va connaître un parcours atypique. Il passe tour à tour des bancs de l'école primaire à ceux de l'Usine des Torpilles de Saint-Tropez pour enfin entrer à l'Ecole de la Marine de Toulon. Témoin occulaire et curieux, il nous restitue à la fois son propre passé et celui des autres qu'il a su si patiemment écouter et mémoriser. A travers son récit on retrouve une Garde-Freinet oubliée, insolite et tellement drôle. Un témoignage à lire et à relire. |

Histoire et Patrimoine de la Madrague de Giens par Patrice Resh.
Une édition de l'association La Partègue.
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Le Niel et sa plage, longtemps anse naturelle utilisée pour la pêche locale est, avec la Madrague, un des sites les plus emblématiques de la presqu'île de Giens. Avec les Amis du Niel, constitués en Association loi 1901, ils militent depuis 2001 pour la réhabilitation de ce petit port "Patrimonial" comme l'on montré les patientes recherches qui ont permis d'écrire ce livre très documenté. |
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La Ferme de Beaurecueil fut un véritable carrefour dans l’histoire du XIXe siècle. Cette bâtisse abrite la mémoire d’une enfance perdue, abandonnée et oubliée. Elle est aussi le creuset de tous les progrès techniques liés à cette époque tels que l’agriculture, l’hydraulique, ou encore les métiers de bouche. Cet édifice reste l’unique témoin d’une histoire méconnue du grand public. Elle n’aurait jamais pu voir le jour sans la persévérance d’un homme visionnaire, le Père Charles Fissiaux. Sous la férule de ce philanthrope, des hommes de bien tentèrent d’accompagner ces enfants, vers un avenir meilleur. Une magnifique aventure humaine commença ; elle révolutionna en grande partie le paysage agricole provençal. Naquit alors un authentique site de lumière et de progrès ; là, tout près, à l’ombre de Sainte Victoire. Emile Julien |
| À près de quatre-vingts ans, Armand Pelletier a entrepris de dérouler le fil de sa vie. Avec ce récit, il nous offre une touchante autobiographie dont voici le premier volume, De la Bresse à la Provence. À travers les yeux d’abord de l’enfant, puis de l’adolescent, très tôt aguerri aux labeurs de la ferme, le lecteur découvre l’existence quotidienne de la campagne bressane durant l’entre-deux-guerres. Placé dès l’âge de neuf ans comme vacher, l’auteur témoigne de ce qu’étaient alors les travaux et les jours. Il restitue les moments forts -les veillées, les moissons, le banquet des conscrits... -, d’une vie encore profondément rythmée par les cycles de la nature. Il fait revivre quelques-uns des membres de sa famille nombreuse, ses patronnes et patrons de ferme pas toujours enclins à la tendresse envers leur employé enfant, ainsi que des personnages hauts en couleur et aujourd’hui quasiment disparus, le maquignon, le bouilleur de cru... Si Armand Pelletier ne cache pas sa nostalgie de ce temps-là, il n’en montre pas moins la rudesse à peine adoucie par les liens d’entraide et de solidarité paysannes. C’est encore au quotidien mais aussi à travers quelques épisodes tragiques survenus dans la région qu’il raconte la période de l’Occupation. Le lecteur suit le jeune homme descendu en Provence par les hasards de l’armée, lequel se prend de passion pour la région. Il y exerce mille et un métiers. Et dans la France d’après-guerre en reconstruction, il participe à de nombreux chantiers d’Aix-en-Provence et des environs. C’est avec beaucoup de pudeur qu’Armand Pelletier évoque les épreuves de la vie, parmi les plus douloureuses. Il se refuse à baisser les bras. Sa rencontre avec Yvette, son épouse, lui donnera la force de redémarrer une nouvelle vie. Ce témoignage à l’accent d’authenticité est aussi une leçon simple de ténacité. Alain Astaud |
| " Né en Italie, j'ai grandi à Solliès-Pons dans le Var. Voilà maintenant 64 ans que ma vie est liée à Clumanc, commune des Alpes de Hautes Provence, département des Basses Alpes en 1942, année de mon arrivée dans cette magnifique vallée. C'est durant cette période tourmentée de la guerre que j'ai rejoint mes cousins dans cette région. Je remercie chaleureusement toutes les personnes qui m'ont accueilli et adopté. Ensemble, nous avons uni nos forces, rassemblé nos idées, partagé des moments forts en actions et en émotions pour défendre la dignité et la liberté de notre pays. Ces moments forts, j'ai voulu les présenter à travers cet ouvrage écrit, pour rendre hommage à tous les acteurs connus et anonymes de la résistances et en mémoire de ceux qui ont donné leur vie. Pour que les générations à venir les honorent en bâtissant avec vourage et honnêteté un futur sans frontière dans la paix et le respect de l'homme. " Charles Pellegrino |

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" (…) Il aimait regarder les traminots orienter les archets de leur tramway car le terminus de cette ligne de transport urbain, place Kerghena-Boulanger, était juste en face de la maison. En face aussi, le court du Lawn Tennis Club lui offrait un spectacle inhabituel. Il se demandait pourquoi deux ou quatre joueurs se renvoyaient une balle par-dessus un filet sans vouloir la garder. Nul ne pouvait le renseigner car dans son entourage, personne ne connaissait les règles. C’était un sport réservé aux gens riches et snobs. Ce qu’il adorait entre tout, c’était lorsque, vers dix heures, il entendait le train passer. Eh oui ! Un train avec une locomotive… Oh, pas très grosse mais une vraie locomotive quand même, tirant trois voitures et un wagon de marchandises. Ce petit train assurait la liaison entre Hamman Bou Hadjar et Oran, desservant des localités comme Aïn El Arbe, Saint-Maur, Valmy et Sénia. Le plus distrayant était de voir les petits Algériens prendre le train en marche et se lancer à terre quelques mètres plus loin car, à cet endroit, le train, avec ses tchouf tchouf, avait des difficultés à grimper la légère pente existante. Ce train s’appelait le Bouyouyou. " Michel Matilla |
| " Ma vie n'a pas été ordinaire. Quittant une Italie fasciste qui leur réservait un destin misérable, mes parents ont traversé la frontière française. Passant d'un ferme à une autre, ils ont travaillé dur pour élever leurs dix enfants. Mon enfance et mon adolescence ont été marquées par des évènements douloureux, mais j'ai toujours tenté de faire face avec courage et dignité. Et puis, Adrien est arrivé au milieu des flonflons de la Libération et ma vie de femme et de mère a commencé, heureuse et simple à la fois. |
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"Sur le chemin qu'on prenait pour aller à la messe, il y avait un figuier. Les figues n'étaient pas encore mûres que je grimpais dedans ; j'en arrachais aussi les fleurs et les gens sont allés se plaindre aux sœurs. C'est comme ça que j'ai eu droit à une bonne rouste... Elles m'ont mise dans une pièce noire où on entreposait le charbon en me disant que le diable et les souris viendraient me manger. J'avais peur. |
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Roger Vecchione a trois passions : les femmes, le jazz et la boxe. C’est essentiellement de cette dernière dont il nous entretient dans ce livre de souvenirs en forme de brûlot. À 73 ans, cet ancien boxeur amateur et toujours entraîneur du Boxing-Club Saint-Louis - un lieu historique de la boxe marseillaise d’où sont sortis quelques champions - témoigne d’une expérience de plus de quarante ans dans le milieu pugilistique. Il nous livre ses coups de cœur comme ses coups de gueule. Sans mettre les gants, il dit ses quatre vérités, à commencer par celle-ci : plus que jamais, la boxe s’exerce sur le dos des boxeurs. Et dans ce réquisitoire, nul n’est épargné : ni la Fédération française de boxe, ni les organisateurs de combat, ni les entraîneurs. Avant le dernier round, Roger Vecchione a tenu à mettre les poings sur les « i ». Ecrit en collaboration avec Alain Astaud. |

L'histoire de la famille Nosny, des vignes de l'Hérault à la Côte d'Ivoire.
Racontée par Alain Astaud.


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Élise Fabre semble la première étonnée d’avoir atteint 100 ans. De sa voix douce, elle nous raconte ses souvenirs et nous invite à la traversée d’un siècle de vie. Née en 1909, à Seyne-les-Alpes, l’auteure est très tôt confrontée aux drames de l’existence : la mort accidentelle de sa sœur aînée, la disparition de son père parti à la guerre de 14-18… Élise devient le soutien indéfectible de sa mère esseulée. À douze ans, elle décide de subvenir aux besoins de sa famille venue vivre à Aix-en-Provence. Elle y exerce mille et un petits métiers… Les bals, sa passion, viennent égayer une existence rythmée par le travail et la maisonnée. Jusqu’au jour où Élise rencontre Titin, un garçon que la vie n’a pas non plus épargné. C’est le coup de foudre pour ce jeune téméraire que l’appel du large conduit à travers le monde. Élise s’établit comme couturière pour faire vivre le ménage. Sous l’Occupation, Titin milite dans la Résistance. Inquiété par la Gestapo, le couple doit se cacher. L’explosion prématurée d’une bombe posée par Titin le handicape à jamais. La paix revenue, la vie reprend son cours. Élise participe aux débuts du Festival d’Aix en créant les costumes de Cosi fan tutte. Titin, lui, ne se remettra jamais des séquelles de la guerre. Mais Élise fera front aux épreuves comme elle l’a toujours fait… |
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Karim, adolescent marseillais, a connu bien des épreuves : la mort de sa sœur, celle de son meilleur ami, la séparation de ses parents, les petits boulots de galère, la débrouille pour survivre... Karim n'a que quelques minutes pour se décider... Acceptera--il ? Jusqu'où sera-t-il prêt à aller ? Et saura-t-il s'arrêter avant qu'il ne soit trop tard ? |
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À la mort de sa femme suite à une longue maladie, Jean-Marie Lambert a écrit un récit sans concessions de l’évolution appelée communément « travail de deuil ». Toutes les étapes de la souffrance éprouvée par le survivant (désespoir, remords, crise d’identité, remise en question de sa vie, épreuve de la solitude, poids de la mémoire… ) y sont décrites avec réalisme. Utile pour tous ceux qui traversant cette épreuve se posent des questions sur leur « normalité », ce témoignage révèle l’importance d’être accompagné pour retrouver le désir de vivre en acceptant que cohabitent la tristesse de l’absence et la joie des souvenirs heureux. |

Une vie, cela semble long
Et pourtant c’est si court
Lorsqu’on la regarde à l’envers !...
Yolande Vercasson

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Ma passion pour les scooters m’est venue naturellement après la restauration d’un Terrot VMS2 de 1953 qui appartenait à ma mère. J’ai roulé quelques années avec avant d’acheter ma première Vespa en 1994. Jean-Louis Cruvellier |
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Mes souvenirs commencent à l’âge de 4 ans (en 1910). Je me souviens de mes deux grands-pères. En ce temps-là, les hommes vivaient plus vieux que les femmes. Elles mouraient en couches, par manque d’hygiène, ou pour des maladies que l’on ne savait pas soigner. Il est vrai que les hommes allaient à la guerre, j’ai connu plusieurs personnes qui avaient vécu la guerre de 1870 où les Parisiens assiégés par les Prussiens mouraient de faim (on mangeait des rats et tous les autres animaux, y compris ceux du jardin des Plantes). Ma belle-mère a vécu à cette époque. Elle a connu trois guerres... Marguerite Brugnans |
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Né en 1947, Jean Pierre Soumet, à l’âge de 9 ans, allait toujours à l’école de son village en sabots de bois, ce n’était pas une contrainte, il en était plutôt fier, il faisait honneur à son père. De cette enfance bien particulière, il a noté en secret les événements de sa commune rurale, la vie paysanne, leurs traditions. Il dévoile son enfance, son adolescence, le cours de sa vie. Après avoir parcouru la planète, à sa retraite, il part vivre quelques années au Maroc puis revient en France, s’installe à Aix-en-Provence. Inspiré par cette douce Provence, accompagné du chant des cigales, à 66 ans, il décide de ressortir ses cahiers d’écolier aux pages jaunies pour vous faire revivre son passé. Ce livre attisera la curiosité des jeunes, avivera la mémoire des plus anciens, vous fera connaître son pays natal, le Berry, célèbre par cette devise « 99 moutons et 1 berrichon ça fait bien 100 bêtes ». |
Un cri du coeur de Jane Y.
Imprimé sur papier Olin Rough.
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Pendant 6 années Annie Briançon a mis bout à bout des phrases piochées dans plus de 200 livres, pour nous raconter son histoire, sa propre histoire... |
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Pour Boubacar Baldé, il aura existé trois France : celle qu’il avait imaginée tel un Eldorado alors qu’il vivait encore au Sénégal ; celle qu’il a découverte en posant le pied sur le sol français et qu’il a appris à connaître ; celle enfin qu’il comprend aujourd’hui, après plus de neuf ans de vie d’études et de travail, et dont il nous livre ici, par petites touches impressionnistes, un portrait personnel. Écrit en collaboration avec Alain Astaud. |
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Les vies d'Eliane... souvenirs, joies et peines... des fragments de vie racontés par Mireille Rostaing Pascaline, ma fille, est à l’origine de la naissance de ce récit. C’est elle qui en a eu l’idée. Elle a insisté pour que soient rassemblées dans un livre, les étapes importantes de ma vie. Finalement, je me suis décidée et j’ai accepté. Ensuite, les choses sont allées vite. Par l’intermédiaire de son amie, Françoise, Pascaline a contacté Mireille dont l’activité est de mettre sa plume à disposition des personnes qui souhaitent écrire leurs souvenirs. Ce voyage dans le passé n’a pas été toujours facile. Certaines séances m’ont remuée et la relecture du texte m’a quelquefois troublée et souvent bousculée, mais avec Mireille, nous avons fait une bonne équipe. Elle a su m’écouter, m’interroger pour faire ressurgir mes souvenirs et faire remonter des faits enfouis au plus profond de mon cœur et je la remercie. |

Régis Fraissinet, le coureur automobile, nous livre ses mémoires écrites en toutes libertés...
Rédigé en collaboration avec Monique Deprez Savi.

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A un tournant de sa vie, Jean Hamon a entrepris de retranscrire son histoire familiale à travers récits et anecdotes aux 4 coins de la planète. Un voyage dans le temps et autour du monde. " J’ai longuement hésité avant de me décider à écrire ces quelques pages. Sans doute, d’abord parce que je dois être paresseux. Ensuite, parce que je pensais que cela n’intéresserait pas grand monde, sauf peut-être, mes petits-enfants. C’est donc cette raison qui m’a fait changer d’idée.Par ailleurs, je n’avais pas très envie de commencer par : « je suis né le… à … » Aussi, vais-je commencer par la fin, et quand je dis la fin, c’est vraiment la fin de ma vie ou au moins, la fin de ma vie heureuse : le 4 octobre 2013. J’ai perdu celle qui m’avait rendu heureux pendant 55 ans, 5 mois et 26 jours. Je triche peut-être sur le nombre de jours, car je ne me souviens plus si c’est le 12, le 13 ou le 14 mai 1958 que je l’ai rencontrée pour la première fois. En tout cas, c’est aux alentours du 13 mai 1958, date ô combien célèbre pour d’autres raisons. Comme mes petits-enfants ne peuvent pas le savoir, je vais leur expliquer pourquoi." |
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Il y a quelques années, Henri Bouche est parti sur les traces de son histoire familiale. Après de nombreuses recherches aux archives d'Outre-Mer et des voyages aux quatre coins du monde, il a pu retracer le contexte politico-historique de l'époque, et découvrir enfin, le mystère de la disparition de sa mère. Cette histoire romanesque et émouvante, a donné naissance à ce récit rédigé avec la complicité d'Alain Astaud. |
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Les tribulations de Francisca, jeune adolescente cap-verdienne, partie pour Dakar puis pour la France.. racontées par Stephanie Maugenest. " Le jour de mon départ, maman prit un sac en tissu pour y fourrer quelques affaires. En descendant du village, elle demanda à l'épicier de lui faire crédit d'un kilo de confiture pour que je n'arrive pas chez ma tante les mains vides. Je n'avais rien d'autre. C'était vraiment la misère... Alors que nous étions presque arrivées au port, ma mère s'est aperçue qu'elle avait oublié de mettre une jupe dans mon sac. Elle est remontée pour aller la chercher. Entre temps, le contremaître me dit : "Il est temps de partir !" Je lui expliquais que j'attendais ma mère, qu'il devait patienter un peu. Mais il ne voulait rien savoir. J'embarquai donc à contrecœur. Le bateau s'apprêtait à lever l'ancre quand ma mère arriva. Elle eu juste le temps de m'envoyer la jupe que j'attrapai au vol. Je n'eus pas le temps de prendre maman dans mes bras. Je me suis mise à pleurer, elle aussi. C'est là que j'ai réalisé que je quittais mon pays. Je pleurais aussi fort que je pouvais, mais cela ne me consolait pas. Plus tard, j'ai compris ce qui me manquait : la bénédiction de mes parents, surtout celle de ma mère et de ma grand-mère. " |
| La vie de Pierre Martin, intimement liée à celle de la cueillette des olives, de l'Algérie des années 30 à la Provence d'aujourd'hui... |
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Pour l'écriture de ses mémoires, Tony Manley a pris le parti de raconter toutes les petites mésaventures qui ont ponctué sa vie. |
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La vie de Jacqueline Villé, ses souvenirs d'enfance sur fond de guerre et d'occupation allemande... puis le début de sa vie de femme sous les flonflons de la libération ! « Je ne m’inquiète pas trop pour mes petits-enfants et arrières petits-enfants même si la société est parfois un peu bizarre. Mes grands-parents non plus ils ne pensaient sans doute pas que je me serais mariée, que j’aurais épousée un pharmacien, que j’aurais été institutrice, que ceci et que cela... (...) Mais ce qu’il faut, c’est qu’ils soient bien éduqués, qu’ils sachent ce que c’est la vie. Dans toute vie il y a des hauts et des bas (...) |
| "C'était comment autrefois? quand tu étais jeune, pendant la guerre"... Autant de questions que se posent les petits-enfants de Georgia Brunet. Elle a décidé de leur répondre "en livre", et c'est avec bonheur, douleur parfois, mais toujours avec émotion qu'elle replonge dans les souvenirs du quotidien de la seconde guerre. |
| Alors qu'il n'était qu'un enfant, Venant Fali Nagalikpima s'est vu confier une mission par son grand-père : apprendre et transmettre l'histoire orale de sa tribu les "Mondo". Voilà chose faite... par écrit. La tribu originaire du Congo s'est souvent déplacée (Soudan, République Centrafricaine) afin d'échapper aux chasseurs d'esclaves et aux explorateurs belges. L'arbre généalogique ainsi reconstitué répertorie tous les noms de familles des "mondeles" et leur signification, on y trouve entre autres les "Obama"… |

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En 1905 Pierre Coutras a 16 ans. Son père lui offre un appareil photographique avec lequel il va immortaliser le Marseille de La Belle Époque. De beaux clichés, de celui qui deviendra journaliste, écrivain, poète, artiste peintre… Raconté par Christiane Aragonais-Rey sa petite nièce par alliance... |
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« L'Or de la terre, de la semence à la moisson », l’histoire de la famille Féraud dans la Provence d’hier et d’aujourd'hui... Ce livre est le témoignage d’un pan de l’histoire de la famille Féraud. Saisissant, émouvant, il met en lumière la vie des aïeux d’Albert et Madeleine, dont les traces s’étaient perdues dans les méandres de la mémoire familiale. Les plus jeunes générations pourront s’y abreuver et trouver au travers de leurs mots le courage nécessaire à la réalisation de projets, petits ou grands. Ils pourront ainsi retracer le chemin sinueux parcouru par leurs ancêtres, des chemins défoncés que la charrette d’Hilaire parcourait chaque jour aux rives apaisées du Camping Marina Plage. |
Arbre généalogique dépliant.